Marie-Christine Lafrenière
Marie-Christine, titulaire d’un baccalauréat en biologie (UdeM 2015-2018), est actuellement étudiante au doctorat en biologie à l’Université de Montréal. Ses domaines d’études sont l’écotoxicologie, l’écologie des eaux douces et la biogéochimie. Son doctorat vise à comprendre le devenir des métaux de terres rares, des métaux présents naturellement en sols canadiens et utilisés dans la conception des technologies vertes ou numériques, dans l’eau, les sédiments et les organismes du fleuve Saint-Laurent. Originaire de la rive nord du Lac Saint-Pierre et véritable passionnée du paysage fluvial québécois, elle a passé plusieurs étés à naviguer sur le fleuve et ses tributaires pour récolter ses échantillons et développer une compréhension intégrée du système.

Aussi intéressée à la communication scientifique, elle a offert quelques conférences destinées à un public académique et quelques-unes à un plus large public  (Femmes et sciences, Parcours d’une biologiste, Démystifions le Saint-Laurent, Le Paradoxe de la transition énergétique). Elle a aussi animé des ateliers thématiques sur le domaine de l’eau aux cégépien·nes au sein d’un regroupement de l’Université, et à un grand public dans le cadre du Festival Eurêka!. On peut lire ses propos sur l’actualité et l’environnement aux côtés d’étudiant·es en Droit, dans le journal Le Pigeon Dissident. De plus, Marie-Christine se définit comme une biologiste-artiste et développe sa vision artistique conjointement avec ses intérêts scientifiques dans ses peintures, dans ses contrats de graphisme, notamment dans des infographies pour l’Institut Nordique du Québec, ou dans la création d’une bande dessinée pour illustrer sa propre recherche. 

Aujourd’hui, elle tient le micro aux côtés de son acolyte et amie Stéphanie, dans l’animation du Podcast Les Lucioles sur la recherche étudiante en biologie. Lorsqu’elle ne rédige pas sa thèse ou qu’elle ne travaille pas au développement du podcast, on la retrouve en plein air, en pleine lecture d’un roman féministe, dans la création d’un poème, ou à la recherche d’une nouvelle recette végane.  

Twitter: @mclafreniere
Instagram: @mariechristinelaf
Facebook: Marie-Christine, biologiste-artiste

Liens utiles : 

• Biographie site du Département : https://bio.umontreal.ca/repertoire-departement/etudiants-aux-cycles-superieurs/marie-christine-lafreniere/ 

• Infographie pour l’INQ : lien sur demande/bientôt publiquement disponible

• Bande-dessinée : sur demande/bientôt disponible

• Vidéo sur ma recherche en 2019 : https://www.youtube.com/watch?v=lweiMpD1_wo 

• Webinaire académique pour Écotoq : https://www.youtube.com/watch?v=mcFUzPXBcno 

• Articles Pigeon Dissident : se référer à l’hyperlien lien du Département ci-dessus.

Stéphanie Shousha
Stéphanie a défendu sa thèse de doctorat le 11 novembre 2022 au Département de sciences biologiques de l’Université de Montréal (supervision Jean-François Lapierre, co-supervision Roxane Maranger). Elle travaille actuellement comme post-doctorante dans le laboratoire de Roxane Maranger en partenariat avec le Ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP). Ayant peaufiné une approche pour départager la source de pollution terrestre (urbaine versus agricole) à une rivière durant son doctorat, elle l’applique maintenant aux rivières du Québec. Identifier les sources principales d’azote et de phosphore, nutriments venant de l’urbanisation (source ponctuelle) ou de l’agriculture (source diffuse), est indispensable à la création de stratégies d’intervention spécifiques au type de pollution qui diminueront la quantité d’azote et de phosphore lessivés aux cours d’eau et amélioreront ainsi la qualité de l’eau et la viabilité des services écologiques qui en découlent.

Durant son parcours, Stéphanie s’est intéressée à la visualisation de données : comment peut-on visualiser les résultats de recherche, les concepts théoriques ou les découvertes en science de façon à ce que l’auditoire les comprenne le mieux possible ? Elle a lu plusieurs livres sur le sujet et applique ces principes dans de nombreuses conférences et ateliers participatifs (le cerveau humain comprend plus facilement les couleurs que les formes, le 1D que le 2D, que le 3D, etc.). De plus, elle se questionne sur les principes de base de la science : qu’est-ce que la science (une quête de la vérité), pourquoi devrait-on faire confiance à la science (c’est un consensus entre experts), y-a-t’il plusieurs méthodes scientifiques (oui, et si elles mènent toutes au même résultat, c’est certainement le meilleur) et s’instruit en discutant régulièrement de livres de philosophie des sciences dans un club de lecture qu’elle a formé avec des collègues.

Suivant sa passion de diffuser la recherche étudiante (elle a entièrement monté une vidéo sur son sujet d’étude durant son doctorat), Stéphanie anime avec Marie-Christine le Podcast Les Lucioles. Dans ses temps libres, elle aime faire de l’escalade, coudre, et lire, mais maintenant, des livres du genre fantastique s’il-vous-plaît. 

Twitter : @steph_shousha
Facebook : Stéphanie Shousha
LinkedIn : Stéphanie Shousha

Informations de curiosité : 

• Vidéo sur ma recherche en 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=tJoJkSRau1A&t=17s

• Épisode 08 du Podcast Les Lucioles (saison 1)

• Vidéo promotionnelle de l’épisode 08 : https://www.youtube.com/watch?v=KrtwVxgoZic 

Amélie Allard
Amélie est étudiante au baccalauréat au Département de sciences biologiques de l’Université de Montréal. 

Mathilde Bélair
Mathilde est étudiante à la maîtrise au Département de sciences biologiques de l’Université de Montréal sous la supervision de Jean-François Lapierre. Pour son projet de recherche, elle s’intéresse aux impacts des feux de forêts sur la qualité de l’eau des lacs boréaux. Plus particulièrement, elle vise à mieux comprendre l’effet d’une perturbation de feu sur le cycle du carbone à l’échelle d’un bassin versant, car les émissions de carbone des lacs ne prennent pas encore compte des émissions causées par les feux. Étant une scoute qui tient à cœur de protéger la nature et qui est toujours prête pour l’aventure toute son enfance, Mathilde parcourt les forêts brûlées avec passion.

Motivée par la curiosité et la beauté de la recherche qui reste souvent dans l’ombre,  elle désire contribuer au partage des découvertes en souhaitant inspirer les autres. Le Podcast Les Lucioles ayant la même vision, elle s’est engagée dans l’équipe pour créer des vidéos et du contenu captivant pour les réseaux sociaux afin de faire briller la science. Dans ses temps libres, on peut trouver Mathilde dans la forêt ou sur un lac à être émerveillée par tout ce qui l'entoure, ou bien à faire du tricot et de la peinture en écoutant du Taylor Swift.

Twitter: @BelairMathilde
Facebook: Mathilde Bélair
Instagram: mathildebelair04
Tik Tok:@mathiskye04

Leia Lafrance
Leia est étudiante à la maîtrise en écotoxicologie aquatique au Département de sciences biologiques de Montréal, sous la supervision de Marc Amyot et Jean-François Lapierre. Pour son projet de recherche, elle s’intéresse au destin du mercure et du carbone dans un bassin versant des Laurentides en fonction des saisons. Le devenir du mercure dans un paysage forestier canadien selon les changements climatiques est encore méconnu, c’est ce qui rend cette recherche intéressante. Grande passionnée de la nature, il lui semblait tout naturel de prendre un projet de recherche qui l’amènerait à être sur le terrain toute l’année ! 

La science a toujours été une passion pour elle, donc un projet de vulgarisation scientifique comme le Podcast les Lucioles lui semblait idéal pour s’engager dans le domaine ! C’est dans l’ombre des communications qu’elle opère, dans le but de faire briller le Podcast sur toutes les plateformes de réseaux sociaux.